Il y a 2 semaines, on vous parlait des influenceurs et blogueurs… (CF article ici). Stratégies publie aujourd’hui un article sur les micro-influenceurs.
Qui sont-ils ? Et quels bénéfices pour les marques ?

Micro-influenceurs : qui sont-ils ?

Les micro-influenceurs sont présents sur nombre de réseaux sociaux, et notamment sur Instagram et YouTube. YouTube, plateforme vidéo par excellence, et Instagram, plateforme visuelle (image et vidéo).
Leur nombre d’abonnés varie entre 3 000 et 10 000 maximum. Ceux qui les suivent au quotidien sont des followers réellement intéressés par le contenu produit. Donc peu d’abonnés, mais des influenceurs aux followers “de qualité”.

Faire appel aux micro-influenceurs : les avantages pour une marque

“Le partenariat avec des micro-influenceurs sur Instagram et YouTube peut être aussi efficace que le sponsoring coûteux de personnalités très suivies.”
@HarscoetFR
Travailler avec un micro-influenceur présente nombre d’avantages pour une marque, une entreprise. Cela permet de générer un faible coût par rapport à une “association” avec une célébrité et de ne pas les “payer” mais plutôt les rémunérer par l’envoi de cadeaux gratuits. De plus, cela peut susciter une augmentation facile du nombre de contenus (UGC = User Generated Content). C’est enfin un bon moyen de communiquer, véhiculer les bons messages auprès de potentiels clients et mieux comprendre les attentes de ses clients et prospects.

Recommandation & Success story

Dans l’article de Stratégies qui lui est consacré, Sedge Beswick, Directrice de SEEN Connects et spécialisée dans le marketing d’influence, recommande aux marques de se constituer un vivier d’une cinquantaine de micro-influenceurs. C’est pour elle beaucoup plus avantageux que de travailler avec un ou plusieurs influenceurs suivis par des centaines de milliers de followers.
Mais pourquoi Instagram et YouTube, et non Facebook ni Twitter ?
“Facebook s’adresse à des générations plus âgées désormais. Quant à Twitter, les marques cherchent discrètement à transformer leurs comptes en simples services clients”.
En effet, Facebook est prisé par les générations de 50 ans et plus. Ce qui a pour effet de désintéresser les populations de 18-40 ans. Et Twitter, même si elle reste l’une des plateformes les plus utilisées au monde, ne suscite plus l’intérêt des marques. Hormis peut-être l’amélioration de son service après-vente…
D’ailleurs, l’un des clients de Sedge Beswick a travaillé avec 50 micro-influenceurs dont le nombre d’abonnés ne dépassait pas les 2 000.  Ils ont généré en moyenne entre 14 et 28 000 € de ventes directes chaque mois.
Résultat : les micro-influenceurs sont un bon moyen de générer du business de manière concrète, à la différence des “grands influenceurs” aux millions d’abonnés avec lesquels les marques peuvent “espérer” améliorer leurs ventes.